<< Précédente - Le scénario des révolutions se répète : des prophètes les rêvent, des apôtres les font, des fripons les défont. Du vent, du sang, un gang.
Lorsqu'on sent sa langue méprisée, sa religion bafouée, sa culture dévalorisée, on réagit en affichant avec ostentation les signes de sa différence ; lorsqu'on se sent, au contraire, respecté, lorsqu'on sent qu'on a sa place dans le pays où l'on a choisi de vivre, alors on réagit autrement. - Suivante >>
friedrich nietzscheditescroyeznécessitédereligionsincèrepolicevous ditesdites quevous croyezcroyez àla nécessiténécessité dede lala religionreligionsoyez sincèresincèrevous croyezcroyez àla nécessiténécessité dede lala policevous dites quedites que vousque vous croyezvous croyez àcroyez à laà la nécessitéla nécessité denécessité de lade la religionla religionsoyez sincèresoyez sincèrevous croyezvous croyez àcroyez à laà la nécessitéla nécessité denécessité de lade la policevous dites que vousdites que vous croyezque vous croyez àvous croyez à lacroyez à la nécessitéà la nécessité dela nécessité de lanécessité de la religionde la religionsoyez sincèrevous croyez àvous croyez à lacroyez à la nécessitéà la nécessité dela nécessité de lanécessité de la policevous dites que vous croyezdites que vous croyez àque vous croyez à lavous croyez à la nécessitécroyez à la nécessité deà la nécessité de lala nécessité de la religionnécessité de la religionvous croyez à lavous croyez à la nécessitécroyez à la nécessité deà la nécessité de lala nécessité de la police
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Lorsqu'on sent sa langue méprisée, sa religion bafouée, sa culture dévalorisée, on réagit en affichant avec ostentation les signes de sa différence ; lorsqu'on se sent, au contraire, respecté, lorsqu'on sent qu'on a sa place dans le pays où l'on a choisi de vivre, alors on réagit autrement. - Suivante >>