<< Précédente - Les bonnes actions dont le souvenir réchauffe le plus notre cœur sont celles que nous avons entreprises avec incertitude, presque avec remords.
Il faut craindre de confier au premier venu les soulèvements indignés de son cœur ; trop souvent on prend pour juge d'un hypocrite un plus hypocrite encore. Lorsqu'un malfaiteur nous renverse en coupable dans la rue, gardons-nous d'accepter le bras du complice officieux qui s'avance. - Suivante >>
quand-on-part-une-bonne-action-ciel-souvent-douteux-faut-s'attendre-à-ne-voir-briller-soleil-qu'à-moitié-de-route
henri boucheronpartunebonneactioncielsouventdouteuxfauts'attendrenevoirbrillersoleilqu'àmoitiéderouteon partpart pourpour uneune bonnebonne actionle cielciel estest souventsouvent douteuxdouteuxil fautfaut s'attendres'attendre àà nene voirvoir brillerbriller lele soleilsoleil qu'àqu'à moitiémoitié dede lala routequand on parton part pourpart pour unepour une bonneune bonne actionle ciel estciel est souventest souvent douteuxsouvent douteuxil fautil faut s'attendrefaut s'attendre às'attendre à neà ne voirne voir brillervoir briller lebriller le soleille soleil qu'àsoleil qu'à moitiéqu'à moitié demoitié de lade la routequand on part pouron part pour unepart pour une bonnepour une bonne actionle ciel est souventciel est souvent douteuxest souvent douteuxil faut s'attendreil faut s'attendre àfaut s'attendre à nes'attendre à ne voirà ne voir brillerne voir briller levoir briller le soleilbriller le soleil qu'àle soleil qu'à moitiésoleil qu'à moitié dequ'à moitié de lamoitié de la routequand on part pour uneon part pour une bonnepart pour une bonne actionle ciel est souvent douteuxciel est souvent douteuxil faut s'attendre àil faut s'attendre à nefaut s'attendre à ne voirs'attendre à ne voir brillerà ne voir briller lene voir briller le soleilvoir briller le soleil qu'àbriller le soleil qu'à moitiéle soleil qu'à moitié desoleil qu'à moitié de laqu'à moitié de la route
<< Précédente - Les bonnes actions dont le souvenir réchauffe le plus notre cœur sont celles que nous avons entreprises avec incertitude, presque avec remords.
Il faut craindre de confier au premier venu les soulèvements indignés de son cœur ; trop souvent on prend pour juge d'un hypocrite un plus hypocrite encore. Lorsqu'un malfaiteur nous renverse en coupable dans la rue, gardons-nous d'accepter le bras du complice officieux qui s'avance. - Suivante >>