<< Précédente - Le feu prit un jour dans les coulisses d'un théâtre. Le bouffon vint en avertir le public. On crut à un mot plaisant et l'on applaudit ; il répéta, les applaudissements redoublèrent. C'est ainsi, je pense, que le monde périra dans l’allégresse générale des gens spirituels persuadés qu’il s’agit d’une plaisanterie.
Comment nous assurer que nous ne sommes pas dans l'imposture ? - Suivante >>
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søren kierkegaardhommesvraimentabsurdesn'usentjamaislibertésdontjouissentréclamentcellesqu'ilsn'ontontlibertédepenséedemandentparoleles hommeshommes sontsont vraimentvraiment absurdesils n'usentn'usent jamaisjamais desdes libertéslibertés dontdont ilsils jouissentils réclamentréclament cellescelles qu'ilsqu'ils n'ontn'ont pasils ontont lala libertéliberté dede penséeils demandentdemandent lala libertéliberté dede paroleles hommes sonthommes sont vraimentsont vraiment absurdesils n'usent jamaisn'usent jamais desjamais des libertésdes libertés dontlibertés dont ilsdont ils jouissentmais ils réclamentils réclament cellesréclament celles qu'ilscelles qu'ils n'ontqu'ils n'ont pasn'ont pasils ontils ont laont la libertéla liberté deliberté de penséeils demandent lademandent la libertéla liberté deliberté de parole
<< Précédente - Le feu prit un jour dans les coulisses d'un théâtre. Le bouffon vint en avertir le public. On crut à un mot plaisant et l'on applaudit ; il répéta, les applaudissements redoublèrent. C'est ainsi, je pense, que le monde périra dans l’allégresse générale des gens spirituels persuadés qu’il s’agit d’une plaisanterie.
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