Je ne savais pas que j'avais une querelle avec lui.


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henry thoreaunesavaisj'avaisunequerelleluije nene savaissavais pasque j'avaisj'avais uneune querellequerelle avecavec luije ne savaisne savais passavais pas quepas que j'avaisque j'avais unej'avais une querelleune querelle avecquerelle avec luije ne savais pasne savais pas quesavais pas que j'avaispas que j'avais uneque j'avais une querellej'avais une querelle avecune querelle avec luije ne savais pas quene savais pas que j'avaissavais pas que j'avais unepas que j'avais une querelleque j'avais une querelle avecj'avais une querelle avec lui

Tu nous as tout appris. Tout ce que je sais, tout ce que j'aime dans la vie, ça vient de toi. Je suis pétrie de toi. Et quand tu es parti. .. Je ne savais plus rien. Je ne savais plus marcher droite et fière comme une allumette. Mes yeux s'étaient éteints. Je ne savais plus toiser les impudents. Je ne savais plus où le soleil se levait et où il se couchait, je ne savais plus la nuit et le jour, le froid et la tempête, le pain qu'on mange et l'eau qui désaltère. Je ne savais plus rien. Tu avais tout emporté avec toi. -Katherine Pancol
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Tu nous as tout appris. Tout ce que je sais, tout ce que j'aime dans la vie, ça vient de toi. Je suis pétrie de toi. Et quand tu es parti. .. Je ne savais plus rien. Je ne savais plus marcher droite et fière comme une allumette. Mes yeux s'étaient éteints. Je ne savais plus toiser les impudents. Je ne savais plus où le soleil se levait et où il se couchait, je ne savais plus la nuit et le jour, le froid et la tempête, le pain qu'on mange et l'eau qui désaltère. Je ne savais plus rien. Tu avais tout emporté avec toi. -Katherine Pancol

Quand j'avais cinq ans, je m'ai tué. (...) Je suis resté assis sur mon lit très longtemps (...) J'avais quelque chose de cassé à l'intérieur, je sentais ça dans mon ventre et je savais pas quoi faire. J'ai tendu le doigt avec lequel il faut pas montrer et je l'ai appuyé contre la tête. Et puis j'ai fait poum avec mon pouce et je m'ai tué -Howard Buten
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Quand j'avais cinq ans, je m'ai tué. (...) Je suis resté assis sur mon lit très longtemps (...) J'avais quelque chose de cassé à l'intérieur, je sentais ça dans mon ventre et je savais pas quoi faire. J'ai tendu le doigt avec lequel il faut pas montrer et je l'ai appuyé contre la tête. Et puis j'ai fait poum avec mon pouce et je m'ai tué -Howard Buten

J'avais envie d'aller me perdre dans Marseille. Dans ses odeurs. Dans les yeux de ses femmes. Ma ville. Je savais que j'y avais toujours rendez-vous avec le bonheur fugace des exilés. -Jean-Claude Izzo
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J'avais envie d'aller me perdre dans Marseille. Dans ses odeurs. Dans les yeux de ses femmes. Ma ville. Je savais que j'y avais toujours rendez-vous avec le bonheur fugace des exilés. -Jean-Claude Izzo

Son sommeil réalisait, dans une certaine mesure, la possibilité de l'amour ; seul, je pouvais penser à elle, mais elle me manquait, je ne la possédais pas ; présente, je lui parlais, mais étais trop absent de moi-même pour pouvoir penser. Quand elle dormait, je n'avais plus à parler, je savais que je n'étais plus regardé par elle, je n'avais plus besoin de vivre à la surface de moi-même. -Proust
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Son sommeil réalisait, dans une certaine mesure, la possibilité de l'amour ; seul, je pouvais penser à elle, mais elle me manquait, je ne la possédais pas ; présente, je lui parlais, mais étais trop absent de moi-même pour pouvoir penser. Quand elle dormait, je n'avais plus à parler, je savais que je n'étais plus regardé par elle, je n'avais plus besoin de vivre à la surface de moi-même. -Proust

Nous faisons de la querelle avec les autres, la rhétorique, mais de la querelle avec nous - mêmes, de la poésie.
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Nous faisons de la querelle avec les autres, la rhétorique, mais de la querelle avec nous - mêmes, de la poésie.

Il n'y a qu'une seule querelle qui vaille, et cette querelle c'est celle de l'homme. -Charles de Gaulle
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Il n'y a qu'une seule querelle qui vaille, et cette querelle c'est celle de l'homme. -Charles de Gaulle