<< Précédente - Les courtisans, dont la fortune est trop souvent la seule divinité, changent de religion comme ils changent de maître.
Un courtisan n'a pas de patrie, il est partout le courtisan. - Suivante >>
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claude-adrien helvétiusn'estplusdesÃretéundévotcourtisanl'unabandonneamifairefortuneauprèsroil'autredieuil n'estn'est paspas plusplus dede sûretésûreté dansdans unun dévotdévot quedans unun courtisancourtisanl'unl'un abandonneabandonne sonson amiami pourpour fairefaire fortunefortune auprèsauprès dede sonson roila fairefaire auprèsauprès dede sonson dieuil n'est pasn'est pas pluspas plus deplus de sûretéde sûreté danssûreté dans undans un dévotun dévot quedévot que dansque dans undans un courtisanun courtisanl'un abandonnel'un abandonne sonabandonne son amison ami pourami pour fairepour faire fortunefaire fortune auprèsfortune auprès deauprès de sonde son roipour la fairela faire auprèsfaire auprès deauprès de sonde son dieu
<< Précédente - Les courtisans, dont la fortune est trop souvent la seule divinité, changent de religion comme ils changent de maître.
Un courtisan n'a pas de patrie, il est partout le courtisan. - Suivante >>