<< Précédente - Il y a, c'est vrai, un grand bonheur de cette perte-là, de cette trouvaille première de la lecture, de sa capacité à déchiffrer une page, à contempler les ombres. C'est même plus fort que du bonheur, il faudrait pour être juste parler de joie. De joie et de frayeur. La joie va toujours avec la frayeur, les livres vont toujours avec le deuil.
MOUSTACHES : Donnent l’air martial. - Suivante >>
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christian bobinc'estunmystèrelectureonparvientnesaitméthodesqu'ellesimportanceunjourreconnaîtpageditvoixhautec'estboutdedieus'envaunepremièrefractureparadisoncontinuesuivantl'universfaisaitplusrienphrasesterresperduesblancpagec'est unun mystèrela lecturecomment onon yy parvienton nene saitsait pasles méthodesméthodes sontce qu'ellesqu'elles sontsans importanceun jourjour onon reconnaîtreconnaît lela pageon lele ditdit àà voixvoix hauteet c'estc'est unun boutbout dede dieudieu quiqui s'ens'en vaune premièrepremière fracturefracture dudu paradison continuecontinue avecmot suivantet l'universl'univers quiqui faisaitfaisait unun touttout nene faitfait plusplus rienrien quedes phrasesdes terresterres perduesperdues dansle blancblanc dede lala pagec'est un mystèrecomment on yon y parvienton ne saitne sait pasles méthodes sontméthodes sont cesont ce qu'ellesce qu'elles sontun jour onjour on reconnaîton reconnaît lereconnaît le motsur la pageon le ditle dit àdit à voixà voix hauteet c'est unc'est un boutun bout debout de dieude dieu quidieu qui s'enqui s'en vaune première fracturepremière fracture dufracture du paradison continue aveccontinue avec lele mot suivantet l'univers quil'univers qui faisaitqui faisait unfaisait un toutun tout netout ne faitne fait plusfait plus rienplus rien querien que desque des phrasesdes terres perduesterres perdues dansperdues dans ledans le blancle blanc deblanc de lade la page
<< Précédente - Il y a, c'est vrai, un grand bonheur de cette perte-là, de cette trouvaille première de la lecture, de sa capacité à déchiffrer une page, à contempler les ombres. C'est même plus fort que du bonheur, il faudrait pour être juste parler de joie. De joie et de frayeur. La joie va toujours avec la frayeur, les livres vont toujours avec le deuil.
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